Geert Goiris, In tongues, 2021, vidéo – full HD – 12 min
Periphery, Kunsthal Extra City, Antwerp/BE, jusqu’au 8 mai, 2022
Kunsthal Extra City
Provinciestraat 112 (bezoek)
Ploegstraat 25 (kantoor)
2018 Anvers/BE
Further information: extracity.org
Mois : mai 2021
Caroline Achaintre, AstraY, 2014
dans
60 years
Le travail des femmes artistes britanniques des années 60 à aujourd’huiExposition jusqu’au 19 septembre
Tate Britain
Millbank
London SW1P 4RG | UK
Plus d’informations : www.tate.org.uk
La collaboration caractérise la pratique artistique de Jeremy Deller. Le fait d’impliquer des communautés dans son art apporte à son travail un contenu politique. Pour Beaufort 21, il a installé une gigantesque attraction caméléon, à Knokke-Heist. À la fois sculpture et toboggan pour enfants, cette œuvre propose une alternative à la tradition des monuments qui sont généralement très sérieux.Une manière pour lui de contester l’idée selon laquelle l’art dans les espaces publics n’a d’autre vocation que de remplir une fonction décorative ou commémorative.’*
*Extrait du texte de présentation de l’artiste sur le site de Beaufort 21, Triennale de l’art contemporain au bord de la mer (Belgique).
In extenso a le plaisir de présenter On loop, une exposition proposée par les artistes Michel Blazy (Monaco, 1966) et Enzo Mianes (Toulouse, 1988). Proposant une intervention artistique pluridisciplinaire qui se répand dans plusieurs lieux du centre-ville de Clermont-Ferrand, les artistes cherchent à sensibiliser le public à la survie des écosystèmes, au lien entre la vie et la mort, à la dichotomie entre nature et culture.
Exposition jusqu’au 15 juillet, 2021
Hubert Duprat, Corail Costa Brava, 1994-2021
corail rouge de Méditerranée, mie de pain, colle, 20 x 22 x 24 cm (7 7/8 x 8 5/8 x 9 1/2 in.)
Dans l’exposition « La Mer imaginaire » à la Fondation Carmignac, Porquerolles du 20 mai au 17 octobre, 2021. Commissaire : Chris Sharp.
Michel Blazy, Ulla von Brandenburg et Richard Fauguet sont représentés au Frac Ile-de-France – Le Plateau, au sein de l’exposition « Children Power » jusqu’au 18 décembre. Ce projet d’exposition en trois volets autour du thème de l’enfance est “interdite aux + de 18 ans” (à moins d’avoir un accompagnant mineur). Les œuvres sont créées pour les enfants et les adolescents, dont la place et l’importance est réaffirmée de manière inédite.
Yoga 1 et 2 se présente comme un couple de petites sculptures réalisant une posture de yoga (asana) ouvrant la cage thoracique vers le ciel. À la rencontre improbable du yoga et des arts précolombiens, viennent s’ajouter diverses possibilités de mise en scène offertes par les petits shorts colorés (« yoga pants » amovibles). Ces « statuettes » sont caractéristiques du goût pour l’inexactitude de Grossmann qui lui permet de passer outre les catégories.
« Si ces dernières sont essentielles au langage et à la communication, je ne cesse de chercher à les dissoudre dans mon travail. Le paradoxe est que j’ai besoin de me référer malgré tout à des archétypes pour les perturber. Je conçois l’œuvre comme une mise en tension. Je ne me documente jamais et ne fais pas d’esquisses préparatoires. Tout se joue au moment de la réalisation avec les accidents et les errances que cela induit… »
« Ce que j’ai vu, compris ou incompris, retenu et oublié est en jeu lorsque je crée. En expérimentant sur ces mécanismes de la mémoire et de l’intuition, je découvre de nouvelles formes ou en retrouve d’autres. » – Corentin Grossmann
Ces statuettes abordent non sans humour la question de la nudité et de la représentation des organes génitaux dans la statuaire. Ici clairement détaillés, le pénis et la vulve contrastent avec l’approximation anatomique des corps. La possibilité de cacher les sexes au moyen de petits yoga pants, renforce le paradoxe et introduit la question cruciale de la pudeur, comme une ultime hésitation entre l’ouverture et l’abandon que la posture yogique évoque et le rappel de normes sociétales souvent contraignantes.